DESCRIPTION
Vigilance OGM est un organisme à but non lucratif, qui forme un réseau regroupant des groupes et des individus de divers horizons : agriculteurs-trices, environnementalistes, consommateurs-trices et citoyen-ne-s, tous-tes préoccupé-e-s par ce que l’on met quotidiennement dans notre assiette et par l’impact des modes de production des cultures génétiquement modifiées sur la santé humaine et environnementale.
VISION
Vigilance OGM vise à créer un solide réseau d’individus et de groupes afin de faciliter le travail d’échange d’information, de coordination des actions et de mise en œuvre de meilleures pratiques pour un avenir sans OGM. Le tout, dans une perspective d’agriculture écologique, moins dépendante des pesticides et pour une plus grande justice alimentaire.
VALEURS
L’action de Vigilance OGM est basée sur l’importance du droit de savoir, de la transparence et de l’application du principe de précaution, et ce, dans tous les domaines liés aux OGM, pour le bénéfice des agriculteurs-trices et des consommateurs-trices.
Ainsi, ces valeurs guident les actions de Vigilance OGM et de ses membres, dans la revendication d’un Québec sans OGM et moins dépendant des pesticides, où l’agriculture est faite dans le respect de la terre et des agriculteurs-trices, pour offrir des aliments sains et de qualité aux citoyen-ne-s.
MISSION
1- Informer et sensibiliser nos membres et la population sur les enjeux environnementaux, de santé et économiques liés aux organismes génétiquement modifiés (OGM), et ce, du champ à l’assiette.
2- Mobiliser et soutenir la participation et les actions de nos membres et des citoyen-ne-s, pour que leurs voix soient entendues par les instances politiques et les entreprises, afin d’assurer de meilleures réglementations et des pratiques plus cohérentes relatives aux OGM. Encourager et soutenir les agriculteurs-trices afin d’accroître leur autonomie face aux multinationales des semences et des pesticides.
3- Promouvoir des alternatives efficaces et crédibles aux modes de production industrielle liés aux OGM et favoriser une science indépendante. Et cela, afin d’encourager des pratiques d’agriculture plus respectueuses de l’environnement, de la biodiversité et de la santé, en facilitant un travail de co-construction et de transmission des savoirs avec les agriculteurs-trices.